Les causes sont nombreuses :

– mauvaise conformation

– entorses sévères

– accident ou mauvaise chute

– mauvaise nutrition

– articulation trop sollicitée

– mise au travail trop précoce

– élimination insuffisante des toxines contenues dans le sang qui peuvent se fixer sur le tissu conjonctif de l’articulation

– tension musculaire trop importante dûe à une imperfection du squelette

– au stress

 

Les articulations les plus touchées sont :

– le jarret

– le boulet

– le genou

– le paturon

– l’épaule

 

Toutes ces pathologies commencent par une lésion du cartilage de l’articulation entraînant une inflammation des tissus mous

Puis surviennent des déformations osseuses qui entraînent douleur, raideur, gonflement et boiterie

 

Il est essentiel qu’un vétérinaire évalue la gravité de l’atteinte.

 

Le traitement conventionnel passe par les anti-inflammatoires et analgésiques associés à un travail régulier pour faire fonctionner l’articulation et stabiliser le problème.

 

On alterne avec de longues périodes de repos pour faire régresser l’inflammation.

Malgré tout, dans la plupart des cas, boiterie et inflammation réapparaissent dès la reprise de l’activité.

 

Les plantes peuvent aider. Si l’on veut éviter une dégénerescence de l’os et retrouver une bonne mobilité, il est capitale d’assurer une bonne circulation du sang.

 

L’intervention d’un ostéopathe ou d’un chiropracteur peut être précieuse. En utilisant des plantes dépuratives, stimulantes, diurétiques et anti-inflammatoire en complément de ces thérapies, de nombreux chevaux ont pu reprendre une activité normale.

 

Pour choisir la plante appropriée il faut commencer par évaluer ce dont le cheval a réellement besoin

 

Une alimentation correcte est essentielle

Les aliments riches en sucre de synthèse et contenant un taux élevé de gluten sont à éviter

 

Il faut diminuer la présence de toxines dans l’organisme, nettoyer et soutenir le système digestif par un apport de légumes frais comme les carottes, les panais….

 

Pour les mêmes raisons inciter le cheval à boire , ajoutez 30ml de vinaigre de cidre à un seau d’eau. Pour que le cheval boivent il faut une bonne qualité de vinaigre de cidre, ceux du commerce étant destiné à l’assaisonnement, et fabriqué à base de trognons de pommes il n’est pas adéquat.

 

Il est important d’apporter de la vitamine C (cynorrhodon, ortie) et améliorer le système lymphatique (ortie et gaillet gratteron)

S’il y a inflammation, utilisez de la reine des prés ou de l’harpagophytum

 

En externe, on utilisera des crèmes toutes faites (phytosalve, leg aid) ou des huiles essentielles (millepertuis, lavande, romarin) DILUE dans de l’huile de noix ou d’olive